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Dossier : Les évolutions futures du Téléphone mobile
Localisation automatique (ou géolocalisation) : comme la couverture des antennes de relais est réduite et que celles-ci se recoupent (il y en a environ 35 000 en France), il est facile, par triangulation, de localiser assez précisement la position du téléphone mobile. Les opérateurs vont mettre cela à profit pour offrir des services de guidage automatique pour piétons ou des informations locales. En France, ce service est disponible pour les mobiles équipés d'i-mode d'un certain opérateur depuis novembre 2003. Augmentation de l'aptitude des GSM à transmettre des données numériques. Maintenant qu'on est passé à la norme GPRS, pour aller encore plus loin, il faudra installer un nouveau réseau radio. On passerait alors à la norme UMTS (dite de 3e génération). Cela donnerait un débit de l'ordre de 384 kbits/s (pouvant aller théoriquement jusqu'à 1,9 Mbits/s) alors que le GPRS ne permet qu'un débit théorique de 110 kbits/s (en pratique 30/40 kbits/s) et le mode GSM de base 9,6 kbits/s. Le téléphone mobile semble réussir là où ont échoué des technologies antérieures : devenir un couteau suisse numérique. Comme ce dernier, le téléphone mobile tient dans la poche, est relativement simple à utiliser et recouvre une multitude de fonctions liés au nomadisme : de simple téléphone à l'origine, il permet désormais d'envoyer des messages textuels (SMS, MMS, courriel), il sert de montre/chronomètre/minuteur, de télécommande (s'il est équipé de Bluetooth et il remplace de plus en plus les PDA (c'est alors un smartphone) ou même l'appareil-photo (c'est alors un photophone). Le téléphone mobile est également amené à évoluer vers les systèmes de paiement : porte-monnaie électronique. Par exemple, au Japon, l'opérateur de téléphonie mobile japonais NTT DoCoMo et l'établissement de crédit JCB déploient en 2005 un téléphone mobile équipé du système de paiement QuicPay qui communique par radio, sans contact, avec le terminal du commerçant (opération pilote en 2005 avec les taxis de Yokohama près de Tokyo). Distribution et vente de contenu sous forme numérique, comme la musique, en France les principaux opérateurs disposent d'une offre dans ce domaine. Les MVNO, NRJ Mobile et M6 Mobile en font même leur principal produit d'appel. Il s'agit en fait d'un système de radio personalisée, qui aprés inscription et définition des goûts n'envoie que les morceaux qui sont le plus suscpetible de plaire à l'utilisateur. Le gros avantage de cette innovation serait la possibilité de découvrir de nouveaux groupes/artistes. Cette technologie fonctionnerait sur le même principe que les PodCasts, avec des morceaux téléchargés précédemment et que l'on peut écouter à son gré. Il semble que la voie tracée par la plupart des producteurs, mais aussi ce que demande le public soit une convergence des technologies et des concepts vers un seul appareil multimédia. Ainsi, les téléphones mobiles se sont vu ajouter, ces dernières années, des fonctions agenda, lecteur multimédia, appareil photo numérique et autres chronomètre ou dictaphone... À l'avenir sans doute connaitrons-nous aussi une compatibilité totale entre tous les appareils nous entourant, nous facilitant ainsi leur utilisation et nous permettant de nous focaliser sur leur apport bénéfique dans notre vie quotidienne plutôt que sur des préoccupations techniques de compatibilité. |
Dossier : Le téléphone portable et les risques magnétiques
Plusieurs associations et scientifiques assurent que les systèmes de téléphonie portable posent des problèmes pour la santé de certains groupes d'individus (femmes enceintes ou jeunes enfants, par exemple). Si ce risque est pris en compte lors de l'installation des relais, celui lié au terminal portable lui même reste l'objet d'une forte polémique. Si les risques sont aujourd'hui considérés comme mineurs pour une utilisation normale par un adulte, l'état des connaissances est beaucoup plus vague en ce qui concerne les risques potentiels pour les enfants (dont le cerveau, en plein développement, est plus sensible aux perturbations), d'autant plus que l'utilisation qui en est faite est parfois intensive. Le CIRC coordonne une étude internationale « Interphone » qui vise à préciser les liens éventuels entre utilisation des portables et cancer. Mais les opérateurs mobiles apportent le tiers des financements à cette recherche, ce qui peut laisser craindre des conflits d'intérêts. L'Agence Française de Sécurité Sanitaire Environnementale a publié en juin 2005 un nouvel avis sur les portables. À l'heure actuelle, les fréquentes évolutions technologiques des téléphones portables ne permettent pas d'avoir une connaissance fiable du risque. En effet, il faut plusieurs années pour mener une étude épidémiologique ayant assez de puissance pour s'attaquer aux faibles doses de rayonnement émis par les portables. Ainsi, les études dont nous disposons aujourd'hui ne concernent que les premières générations de portables. Mais depuis, la 3G se développe et les fréquences évoluent. |
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